À l’église paroissiale de Dozulé. Je savais que le Seigneur allait me visiter ce jour, puisqu’il avait dit : vous connaîtrez la tâche que je vous demande, le Vendredi Saint. Le matin, il y avait une couche de neige sur Dozulé (peut-être pas que sur Dozulé). Dans la matinée, je vais à la chapelle. Je rencontre M. le Curé, qui

« Il en est ainsi. Actuellement, l'humanité n'est qu’ossements, que ruines calcinées, pesantes, mortes, plongées dans les ornières fétides des vices et des hérésies. Il n'y a plus d'esprit, de cet esprit qui est vie dans la chair et vie dans l'éternité, et qui différencie l'homme de l'animal. L'homme a tué ce qu'il y a de meilleur en lui. Est-il

Lumière. Et Jésus se présente comme d’habitude, les mains tendues vers moi comme pour m’accueillir. Il m’a dit : « Commencez demain une neuvaine, pour vous préparer à la tâche que Je vais vous demander. Cette neuvaine se compose d’un mystère par jour, suivi de la prière que je vous ai enseignée et de la dizaine de chapelet. Dites-là avec

Voici la lumière. Le Seigneur s’est présenté comme d’habitude, mais la main droite sur sa poitrine, l’autre pendante [le] long de son corps. Il m’a souri. Il m’a dit, sans me préciser de le dire tout haut : « Persévérez, Madeleine, dans la prière, le jeûne et l’abstinence. Persévérez sans craindre les railleries et les médisances qui vont s’élever contre vous, car

La lumière. Puis, Jésus se présente comme d’habitude. Il me sourit et me dit : « Dites au prêtre [à ce moment-là, il a regardé M. le Curé] que cette ville, qui est bénie et sacrée, sera protégée de toutes calamités, en particulier chaque foyer qui dit tous les jours la prière que je leur ai enseignée, suivie d’une dizaine