Le Seigneur s’est présenté à l’endroit du Saint Sacrement exposé, comme la fois précédente. Jésus était à la place du Saint Sacrement. Je ne voyais plus ni l’autel, ni le Saint Sacrement ; c’est cette lumière qui avait pris la place. Jésus m’apparaît tout près de moi, légèrement surélevé. Ses pieds sont posés sur une pierre plate. Et à côté

Je suis donc allée avec Monsieur le Curé et Sœur Bruno, voir un membre de l’évêché, comme me l’avait demandé Jésus. Ne me souvenant toujours de rien du latin, je vous assure que j’hésitais, et me demandais bien ce que j’allais lui dire ; et j’en demande encore pardon au Seigneur d’avoir hésité, puisqu’il m’avait dit : « Je serai avec

Une lumière. Puis Jésus m’apparaît comme l’autre fois à la place du Tabernacle, les mains tendues vers moi, comme pour m’accueillir. Son regard est d’une merveilleuse bonté, et son sourire est très doux. Tout ceci est très difficile à décrire, tellement c’est beau. Quelques instants après, Jésus lève le bras droit vers moi et pose l’autre main sur sa poitrine.

J’étais avec les sœurs du pensionnat St Joseph et Monsieur le Curé à la chapelle. Nous venions de terminer le chapelet et les vêpres. Tout à coup, j’ai senti un vent me frôler le visage. Je croyais que la porte venait de s’ouvrir et que cela faisait courant d’air avec la petite fenêtre. Mais il n’en était rien. J’ai donc

J’avais donc encore une fois à voir cette Croix. J’avais hâte d’arriver à la semaine du Ier janvier, semaine où mon mari part à 4h 30 du matin, pour de nouveau me mettre les bras en croix, et attendre, peut-être cette semaine-là, une dernière apparition. Mais je suis venue voir Monsieur le Curé mardi soir, puis mercredi soir.

Troisième jour de suite que la Croix m’apparaît, au même endroit, à la même heure, de la même façon. Et j’ai de nouveau entendu, alors que j’étais, comme les fois précédentes, les bras en Croix, une voix douce, et paraissait être à côté de moi, m’a dit : « Auriez-vous la bonté de dire à l’évêché que le prêtre ne

Je disais, dans mon précédent cahier, qu’une merveilleuse Croix m’était apparue dans le ciel, dans la nuit du lundi au mardi de la Semaine Sainte, c’est-à-dire le mardi matin 28 mars 1972 à 4h35. Cette Croix merveilleuse était accompagnée d’une voix très grave et retentissante, avec ces paroles : Écé Crucem Domini ; et ensuite, comme si quelqu’un était à