03. Une nouvelle vie. | L’Avenir du Monde révélé à Madeleine Aumont par Jésus-Christ à Dozulé 🇨🇵
Témoignage de Madeleine sur les apparitions du Christ à Dozulé
- A l’époque, en 1970, la messe à laquelle vous assistiez… parce que souvent il y a des gens qui doutent de la présence réelle, dans la nouvelle liturgie, c’était une liturgie Vatican II ? C’était normal, comme aujourd’hui, pareil, la même messe qu’aujourd’hui ?
- Oui, c’était la même messe, on chantait peut-être davantage de Latin que maintenant mais c’était la même messe, quand même.
- Le prêtre était tourné vers les fidèles ?
- A ce moment-là ? Il me semble que oui, je crois déjà qu’il était tourné vers les fidèles, ça fait déjà 13 ans. Mais oui, il me semble, qu’il était tourné vers les fidèles, oui.
- Vous dites dans la brochure : « Je vois l’Esprit de Dieu venir à l’autel pour se donner à nous tous. »
- Oui, c’est sûr !
- Quand vous dites « venir à l’autel »,
- Au moment de la Consécration
- Vous le voyez en esprit ?
- Oui, je le vois en esprit. Au moment de la Consécration. Il descend sur l’autel.
- Alors ça a changé votre vie de tous les jours ?
- Ah oui, sûrement que ça a changé ma vie, ça, c’est sûr et certain.
- Par exemple, dans la prière de tous les jours ?
- Ah oui, dans la vie de tous les jours, quand on est sûr que le Christ est vivant, quand même, puisque je l’avais déjà ressenti à la communion.
- Matériellement, dans la journée, vis-à-vis des autres, de vos voisins ?
- Oh, les voisins, je ne pense pas qu’ils s’en apercevaient. Il n’y a que mon mari qui m’a dit un jour : « Tu aurais dû te mettre bonne sœur » quand il a vu que j’avais changé, parce qu’il voyait que j’allais à la messe souvent, avant que je n’y allais pas.
- Alors ensuite, dans la brochure, je trouve qu’il y a des paroles absolument merveilleuses, qui sont en italique. Ce sont des paroles que vous avez écrites dans votre cahier ?
« Tout est transformé si on s’offre à Dieu. On offre tout à Dieu chaque matin, par amour pour Lui. Il faut prier par amour, car sans l’Esprit de Dieu, nous ne sommes rien. » Ça, vous l’avez écrit quand ?
- Ecoutez, je vais vous dire une chose, je serais incapable de réécrire ce que j’ai écrit.
- Mais, ça, c’est d’une beauté extraordinaire !
- Oui, ce sont tous mes cahiers, ça.
- Vous l’avez écrit à la suite des communions ?
- Oui, à la suite de ma conversion, un peu que j’ai écrit ça !
- Mais quand vous écrivez ça, précisément ça, c’est dans la journée, ou tout de suite après la communion, après la messe ?
- Non, c’est dans la journée après ma conversion, dans les mois qui ont suivi, j’ai écrit un cahier. J’ai été aidée, pour écrire. Parce que quand j’écris à quelqu’un, je fais un brouillon, toujours, pour ne pas me tromper. Et ces cahiers-là, je les ai écrits sans brouillon, sans rature, sans rien. Comme ça !
- D’un trait ? Vous avez l’impression que ça venait de vous ?
- Ah non, sûrement pas, ça ne venait pas de moi. J’ai été bien aidée pour les écrire. Je vous dis que je ne serais pas capable maintenant de les récrire.
- Ce sont des paroles extraordinaires de beauté, de poésie, :
« Tout chante la louange du Seigneur, les fleurs, leur parfum, les arbres, la rosée du matin, tout ce qui existe, tout ce qui vit, c’est le souffle de Dieu » c’est merveilleux ces paroles, c’est d’une beauté ! Vous savez, il n’y en a pas beaucoup, moi, je ne connais pas beaucoup de mystiques écrire des paroles aussi belles !
- Mais oui, je vois que vous l’avez bien lu.
- « Car ici, sur cette terre, tout chante les louanges du Seigneur. »
Et alors là, vous dites une chose que je trouve formidable, vous dites qu’avant, vous étiez dans les problèmes matériels, la vie de tous les jours, les problèmes d’argent et tout …
- Ah oui, je comprends, on avait tellement de mal à payer là-bas. On a failli être saisis, d’ailleurs, je ne m’en cache pas.
- Vous avez failli être saisis ? Vous aviez de gros soucis …
- On a vendu parce qu’on a failli être saisis, là-bas en haut, où j’ai vu la Croix. On avait des gros soucis matériels.
- Et à ce moment-là, vous dites que vraiment, tous les problèmes matériels s’envolent.
- Absolument, j’en avais autant.
- Parce que cette paix vous domine et vous en aviez autant, pourtant.
- Ah bien, on en avait autant, je vous dis. C’était en 70, on est partis de là-bas en 76, donc les soucis matériels n’étaient pas finis. Mais vous savez, quand on a autre chose…
– Vous êtes partis de là-bas en 76. Vous êtes venus ici en 76.
– Non, pas ici, chez les sœurs, le temps qu’elle se construise celle-là. Justement on a vendu parce qu’on allait être saisis, on ne pouvait plus payer. Il y avait déjà longtemps que ça trainait, qu’on ne pouvait plus payer. J’en faisais tout un cas, moi, de ça ! Puis après, je me disais, tant pis, on verra bien. Après, vous savez, tout le spirituel dépassait tout ça. Sûr et certain.
- Vous oubliez tout ?
- J’oubliais tout, je disais, on verra bien. A la grâce de Dieu.
- Mais ça ne vous empêchait pas de vaquer à vos affaires de mère de famille, toute la journée, votre cuisine, vos enfants et tout ?
- Ah, non, je faisais tout quand même !
- Ça vous donnait envie de prier beaucoup plus dans la journée ?
- Ah bien, sûrement, parce que je priais en épluchant mes pommes de terre, en faisant mes chambres, je priais tout le temps.
- Quand vous dites que vous priiez, vous priiez une prière spéciale ou vous priiez en parlant au Seigneur ?
- Non, en priant, des Notre Père, des Je vous salue Marie, des prières que je connais.
- Avec des intentions ?
- Non, pas spécialement. Je priais pour la conversion de mon mari, qui disait toujours : « Quand tu es mort, tu es bien mort ».
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