Apparition démoniaque à Gérard Cordonnier et l’obéissance de Madeleine Aumont. | L’Avenir du Monde révélé à Madeleine Aumont par Jésus-Christ à Dozulé

Témoignage de Madeleine sur les apparitions du Christ à Dozulé

M.A : Au sujet de celle de Gérard Cordonnier, c’est la seule qui est diabolique.

J.S : Voyez, et Il reprend de nouveau les prêtres au sujet de ceux qui luttent et refusent… Il en a déjà parlé dans la trente-quatrième.

M.A :

« Vous, à qui J’ai demandé d’annoncer Mon Message, vous êtes coupables de laisser le monde dans l’ignorance de ce qui doit arriver bientôt. Ne vous appuyez pas sur votre propre réflexion. Pourquoi luttez-vous puisque Je vous ai donné Ma Grâce dogmatique ? Par pitié,

Mme Avoyne était là, ce jour-là, elle a dit : « j‘en pleurais », quand elle a entendu « par pitié ».

J.S : Le Christ qui demande pitié aux prêtres, c’est quand même incroyable !

M.A :

 « Je vous demande de M’écouter. Mon Cœur déborde de Miséricorde. »

Alors, Jésus s’est levé, la table a disparu et Il m’a souri longuement et Il m’a dit :

« Dites au prêtre et à tous ceux que vous rencontrerez ce que vous venez de voir et d’entendre ; vous vous en souviendrez toute la journée. »

Bien sûr que je m’en suis souvenu.

J.S : Vous vous en êtes souvenu et vous l’avez dit à tous les autres ?

M.A : Alors justement, ce jour-là, figurez-vous que je repartais de la chapelle et je n’aurais même pas été le trouver, je l’aurais rencontré, parce qu’il venait à la chapelle à cette heure-là. Et la sœur m’a dit :

« venez me voir par là-bas, de l’autre côté, n’allez pas trouver Monsieur le Curé, parce qu’il n’y a pas de raison que vous lui disiez. »

J.S : C’était le père Queudeville ?

M.A : Oui

J.S : Eh bien, dites, ça aurait été très utile qu’il vous voie, pour une fois.

M.A : Eh bien, je l’aurais rencontré, je n’aurais même pas été chez lui, je l’aurais rencontré. Il venait au-devant de moi, je l’aurais rencontré dans la rue.

J.S : Ah, quel dommage !

M.A : La sœur m’a arrêtée, elles m’ont toujours arrêtée et j’ai toujours obéi.

J.S : Vous ne croyez pas qu’il aurait cru, s’il vous avait vue à ce moment-là ? Le père Queudeville ?

M.A : Oh oui, sûrement, Madame Avoyne m’a dit : il vous aurait crue parce qu’il vous aurait vue illuminée ! Il paraît que j’étais complètement illuminée ! Illuminée du Christ !

J.S : Rayonnante …

M.A : Rayonnante du Christ. Madame Avoyne m’a dit : c’est si dommage et c’est la sœur qui a arrêté tout.

J.S : La sœur Bruno ?

M.A : Oui

J.S : Oh la la !

M.A : L’abbé L’Horset serait là, il vous dirait de ne le dire à personne et c’est vrai, il l’a toujours dit alors je me suis toujours tue.

J.S : Oui mais enfin l’abbé L’Horset, le père Queudeville aussi il est prêtre de la paroisse, pourquoi elle a empêché ça ?

M.A : Ah parce qu’elle a dit ce n’est pas lui ; évidemment, je sais que c’est l’abbé L’Horset mon directeur de conscience ; j’aurais pu le dire au prêtre, il n’y a pas de doute.

J.S : C’est toujours votre directeur de conscience, l’abbé L’Horset ?

M.A : Oui, toujours, je lui téléphone toujours et c’est toujours lui quand il y a quelque chose. La preuve, le dernier message, c’est à lui que je l’ai dit.

J.S : Puis Jésus disparaît d’un seul coup et je retombe dans les ténèbres.

M.A : Oui, je vais vous dire pourquoi dans les ténèbres, parce que tout à l’heure, on est dans les ténèbres.

J.S : En ce moment, on est dans les ténèbres ?

M.A : Ecoutez, on a la lumière du soleil mais ce n’est rien, comparé avec la lumière céleste parce que la lumière céleste, c’est tellement merveilleux et tellement plus clair et tellement merveilleux ! c’est tellement beau ! D’abord, c’est l’Esprit qui est dans la joie.

Alors que la lumière du soleil, on est dans les ténèbres, ce n’est pas du tout la même chose, c’est pour ça que je dis que je retombe dans les ténèbres à chaque fois. D’ailleurs le Seigneur l’a dit dans le message :

« Vous êtes tous dans les ténèbres. »

et ceux qui doutent aussi et même moi, pourtant quand je vois la lumière, je suis tout à fait avec le Christ, eh bien je me retrouve dans les ténèbres.