10. 11ème apparition. | L’Avenir du Monde révélé à Madeleine Aumont par Jésus-Christ à Dozulé 🇨🇵

Témoignage de Madeleine sur les apparitions du Christ à Dozulé

J.S : Alors, on arrive à la onzième apparition et vous voyez Jésus. Il n’y a plus ostensoir ni tabernacle.

M.A : Ah non, à chaque fois que je voyais le Christ, comme l’ostensoir était exposé sur l’autel, il n’y a ni ostensoir ni autel, à ce moment-là. Parce que je vois le Christ, un petit peu surélevé, les pieds posés sur une pierre plate. Il n’y a plus d’ostensoir, c’est Lui qui prend la place.

J.S : Vous ne voyez pas un paysage derrière, quelques cailloux, des arbres ou des choses comme ça ?

M.A : Non, c’était la lumière seulement qui couvrait tout le reste. Je ne voyais rien.

J.S : Et là, vous voyez son pied droit avancer. Il n’y avait pas de plaie dans son pied ?

M.A : Bien, vous savez, j’ai vu les pieds après ; sur le coup, je n’ai pas fait attention

J.S : Il était pieds nus ?

M.A : Il était pieds nus, les pieds posés sur cette pierre plate.

J.S : La robe est retenue par une cordelière etc…

M.A : Absolument comme une aube. Les manches larges. On le représente souvent avec une étole mais Il n’a jamais eu d’étole.

J.S : Une robe toute simple ?

M.A : Une aube, une encolure légèrement dégagée comme ça, et c’est tout, une aube.

J.S : Et ses cheveux retombent sur ses épaules. Ce sont des cheveux bruns ?

M.A : Des cheveux châtain.

J.S : Bouclés ?

M.A : Non, pas bouclés, non.

J.S : Vous avez vu la photo que je vous ai fait envoyer, par Mme XXXX ? Ça Lui ressemble ?

M.A : Oui, ça Lui ressemble, celle-là.

J.S : Vous croyez que c’est une photo véridique ?

M.A : Je ne sais pas mais vraiment les yeux, c’est la plus ressemblante de toutes celles que j’ai vues. Parce qu’on m’a dit, sur cette photo-là… Je vous l’ai peut-être expliqué ce qui s’était passé ? Un prêtre qui faisait la consécration avait un doute sur la présence réelle, que c’était le Corps et le Sang du Christ.

Il avait un doute, il a dit :

« Seigneur, donnez-moi un signe ».

 Alors un jour, il avait mis l’hostie dans le tabernacle et il a pris une photo.

 Et soi-disant, qu’il est ressorti ça. Maintenant, vous savez, on m’a dit ça mais je ne sais pas si c’est vrai.

J.S : Moi, j’en ai entendu plusieurs versions, parce qu’il y a eu plusieurs photos de faites. Il y a une photo faite à San Damiano, aussi, par un Belge.

M.A : Ah bon. Mais tout ce que je sais, c’est que les yeux du Christ, c’est beaucoup trop noir, la photo.

J.S : J’en ai vu d’autres photos, pas la même, mais c’est le même visage.

M.A : Ah bon ? C’est le même visage ? C’est merveilleux, c’est ses yeux, c’est dommage que ce soit si foncé. Il y en a qui disent qu’Il a les yeux bleus mais non, Il a les yeux de la couleur des cheveux.

J.S : Châtain foncé ?

M.A : Châtain pas trop foncé, châtain.

J.S : Et Il a les épaules très larges ? De corpulence, Il est costaud ?

M.A : Ah bien oui, Il est moyen mais il est grand surtout.

J.S : Il est très grand. Il y a toujours cette bonté, à chaque fois qu’Il vous voit en premier.

M.A : Ah oui, je comprends, toujours le sourire d’une bonté incroyable, vous savez !

J.S : Et alors à chaque fois, vous vous mettez à genoux et vous faites le signe de la croix.

M.A : oui, parce qu’Il me l’avait dit, alors je l’ai fait après.

J.S : Ce qu’il y a de curieux, c’est que là, Il vous dit :

« Dites aux personnes présentes qu’elles disent avec vous la prière que Je vous ai enseignée suivie d’une dizaine de chapelet »

et Il dit 5 fois « Pitié » ! 3 fois, là, Pitié, Pitié, Pitié ! mais c’est pour résumer les 3 invocations ?

M.A : Ah non, Il l’a toujours dit 5 fois ! Parce que ça n’a pas été fait en entier, là.

J.S : Il a dit en entier la prière ?

M.A : A chaque fois, Il l’a dit en entier, oui.

J.S : Il n’a pas dit Pitié 3 fois de suite ?

M.A : Non, non. Voyez, Pitié, des points… Il a redit la prière toute ensemble, en entier, oui, oui.

J.S : Et quand Il dit :

« Celui qui fait la volonté de mon Père et mange de ce pain vivra éternellement dans cette lumière. »,

ça a été dit après les 3 fois Pitié ?

M.A : Ça été dit après, oui. C’est la seule fois qu’Il l’a dit, ce jour-là, après. Mais la prière enseignée a été donnée avant et c’est exactement celle-là.

J.S : Au bout de la troisième fois, c’est la Sainte Eucharistie, Pitié mon Dieu pour ceux qui Te fuient, donne-leur le goût de la Sainte Eucharistie ? C’est pour ça qu’Il dit : qui mange de ce pain vivra éternellement.

M.A : Ah oui, sans doute, c’est certain, Il a ajouté ça.

J.S : Vous dites que vous restez devant Lui indéfiniment sans rien demander.

M.A : Non, je n’ai jamais demandé rien. Parce que vous savez, on n’a rien à demander. Le Seigneur nous connaît mieux qu’on se connaît soi-même. On n’a rien à demander.

J.S : Vous vous sentez bien, c’est tout ?

M.A : Je me sens bien et je sais que tout ce qu’on a intérieurement, le Seigneur le connaît. Je n’ai jamais demandé rien, à part une fois où Monsieur le Curé m’avait dit :

« Demandez pourquoi vous ne voyez pas ses plaies ? »

mais c’est tout, de moi-même, je n’ai jamais demandé rien. Le Seigneur connaît nos pensées, vous savez, mieux qu’on se connaît soi-même.

J.S : Ah, oui…bien sûr. Et vous dites cette parole merveilleuse :

 « A tous ceux qui doutent, je puis affirmer qu’il y a bien un autre monde que celui qu’on voit et le plus merveilleux c’est celui qu’on ne voit pas. »

M.A : Ça, c’est vrai.

J.S : Ce sont des paroles inspirées, ça !

M.A : Oh sûrement que oui. De moi-même, je n’aurais jamais trouvé tout ça.

J.S : Et là, Il commence à vous donner des indications sur la Croix.

M.A : Oui, alors voilà. Comme Monsieur le Curé disait toujours

« comparable à Jérusalem »,

il se demandait pourquoi, alors la réponse avait été donnée, là :

« par sa dimension verticale ».

J.S : Ses bras doivent se dresser de l’Orient à l’Occident.

M.A : Et en effet, de la façon dont je l’ai vue, c’est absolument ça, il paraît, de l’Orient à l’Occident.

J.S : C’est-à-dire, face au Sud.

M.A : De l’Orient à l’Occident, oui, c’est comme ça que l’ai vue, c’est ce que m’avait dit Monsieur le Curé après.

J.S : C’est Lui-même qui vous dit de faire creuser le bassin.

M.A : Ah bien, bien sûr que c’est Lui aussi, oui ! « Ainsi en est le signe. »

J.S : Quand Il dit :

« Vous viendrez tous vous y laver »,

ça veut dire laver quoi ? La figure ?

M.A : Oui, parce que c’est en signe de purification.

J.S : Oui, parce que ce n’est pas se mettre dans le bassin.

M.A : Ah non, non, d’ailleurs ça a été dit aussi après, que ce n’était pas de l’eau de source. Il n’y a pas de source.

J.S : Vous savez, à Lourdes, les malades on les met carrément dans la piscine.

M.A : Je sais bien, oui.

J.S : Et là, vous croyez que ça veut dire la même chose ?

M.A : Ah bien oui, ça veut dire la même chose.

J.S : Il faut que tous les gens se mettent entièrement dans le bassin ?

M.A : Peut-être, je ne sais pas, je ne peux pas vous dire.

« Tous viendront s’y laver »,

vous y laver. Je ne sais pas s’il faut se mettre dans le bassin, entièrement, mais peut-être que oui, vu la grandeur mais c’était en signe de purification, tout simplement. Et c’est drôle, le Seigneur a dit

« une eau de poussière » ;

on aurait pu dire une eau boueuse mais Lui, Il a dit

« une eau de poussière car vous êtes poussière et vous retournerez en poussière. »

J.S : Ensuite, Il commence à aborder, pour la première fois, le problème du cataclysme général de cette génération.

M.A : Ah oui, voilà, c’est vrai.

« Ne vous lamentez pas – voyez et depuis, qu’est-ce qu’il y en a comme cataclysmes ! – car tout ceci doit s’accomplir. Mais voici qu’apparaît le signe du Fils de l’Homme, et maintenant doit s’accomplir le temps des Nations. »

Je ne savais même pas ce que c’était, c’est l’abbé L’Horset qui m’avait expliqué ça.

J.S : Qu’est-ce qu’il vous a dit sur le Temps des Nations ?

M.A : Eh bien, il avait dit que c’était la fin des temps, c’est certainement ça, je ne me souviens plus très bien. Et puis, voyez, c’est comme plus tard, à la douzième apparition, Gog et Magog, je croyais que c’était du Latin et ce n’était pas ça du tout. C’est lui qui m’a expliqué. Il m’a dit non, c’est le Mal. Je ne savais pas.