14. 15ème apparition. | L’Avenir du Monde révélé à Madeleine Aumont par Jésus-Christ à Dozulé 🇨🇵

Témoignage de Madeleine sur les apparitions du Christ à Dozulé

J.S : Ensuite, on explique la 15ème apparition. Vous lui dites :

« Si vous êtes le Christ, pourquoi je ne vois jamais vos plaies ? »

M.A : Ah, bien oui, vous savez pourquoi, c’est M. le Curé qui m’avait dit de dire ça.

J.S : Ah bon ?

« Jésus continuait de lui sourire, quelle douceur inexplicable je ressentais à ce moment-là, je ne me sentais plus sur terre. »

M.A : Évidemment, vous savez que le prêtre m’avait demandé, au bout de 2 ou 3 apparitions dans la chapelle, il m’avait demandé si je voyais Ses plaies, au Christ. Alors, je lui avais dit non, je n’allais pas lui dire oui pour lui faire plaisir, je n’allais d’abord pas mentir, je lui dis, non, M. le Curé, je ne vois pas ses plaies. Ça lui a paru bizarre, il dit :

« C’est quand même drôle que vous ne voyiez pas ses plaies. »

Je lui dis écoutez, vous savez, tout est tellement merveilleux et lumière que je n’ai pas vu ses plaies. Peut-être qu’Il les avait, je n’en sais rien. Et puis, il m’a parlé d’exorcisme aussi et ça m’a fait un peu peur.

J.S : Parce qu’il croyait que vous étiez possédée du démon ?

M.A : C’est-à-dire, non, mais il m’a parlé de ça, comme ça, puis ça m’a fait peur. Enfin, il pouvait croire aussi que c’était diabolique, malgré tout, on ne sait jamais ? Moi, j’étais certaine que non, parce que la paix que je recevais à chaque fois, ça ne vient tout de même pas du démon et puis le Seigneur n’aurait pas permis non plus, à la place du Saint-Sacrement, que le démon vienne là, quand même, à la place du Christ. Ce n’est tout de même pas possible.

J.S : Oui, moi aussi j’ai toujours pensé ça.

M.A : J’étais certaine. Mais comme M. le Curé m’avait dit :

« la prochaine fois que vous verrez le Christ, vous lui demanderez pourquoi vous ne voyez pas ses plaies. »

Alors, c’est donc ce que j’ai fait. Alors, le Christ m’a souri et Il a dit :

« Pourquoi ce trouble, pourquoi ces pensées s’élèvent-elles en vous ? Vous, les prêtres qui avez la charge d’accomplir ce que Je vous demande, est-il plus facile de crier au miracle, en voyant l’eau jaillir de la montagne que d’entendre la servante du Seigneur prononcer des paroles qu’elle ne connaît pas ? Hommes de peu de foi, souvenez-vous de ma Parole. »

J.S : Voyez, quand je lis ça en public, il y a des gens qui ne sont pas contents. Certaines personnes ne sont pas contentes.

M.A : Pourquoi ?

J.S : Parce que, ils me disent, vous critiquez les prêtres, etc …hommes de peu de foi…

M.A : C’est écrit en l’état, ça ne leur plait pas mais c’est pourtant ça. Mais moi, j’en étais gênée par moments, pour le prêtre, qui était là, que j’aimais bien.

« Ceux qui viendront en Mon Nom parleront des langues inconnues d’eux. N’ayez aucun doute, levez-vous, touchez mes mains. »

Alors, je me suis approchée du Seigneur. Il m’a dit :

« Touchez mes mains, un esprit n’a pas de main, pas de chair. »

 Il m’a tendu Sa Main Droite, que j’ai touchée comme ça, et c’étaient des mains comme les vôtres, comme les miennes, des mains de chair qu’on pouvait toucher donc, des mains tièdes, comme les nôtres. Alors Il m’a tendu Sa Main Droite et Sa Main gauche. Et Il a dit :

« N’ayez plus de doute, un esprit n’a pas de main, pas de chair »,

voilà c’est ça.  Alors, vous comprenez qu’après… Ils ont chanté le Magnificat, à la suite de ça.

J.S : Ah bon, au milieu de l’apparition ou à la fin ?

M.A : Ah non, à la fin.

J.S : Ah oui, ‘sur Sa demande, on chante le Magnificat.’ Vous vous en souvenez bien !

M.A : Ah bien, vous savez, je vous assure qu’il y a des choses, je ne le relis jamais, voyez, mais il y a des choses qui me restent, vous savez, comment voulez-vous que ça ne reste pas ces choses-là !

J.S : Alors, là Il vous donne exactement où il faut creuser pour avoir de l’eau.

M.A : Oui, il donne exactement les dimensions. Alors donc, parce que j’ai été voir l’évêque aussi une fois, non pas l’évêque, l’exorciste du diocèse que j’ai été voir, le père Guyot. Alors, comme il m’avait parlé d’exorcisme, c’est pour ça que j’y ai été, pour voir s’il n’y avait rien de diabolique. Alors il a fait quelques prières sur moi et il a dit :

« Non, je ne vois rien de diabolique ».

Alors, ça a rassuré le prêtre, moi j’étais certaine qu’il n’y avait rien de diabolique mais le prêtre était quand même rassuré.

J.S : C’était l’abbé L’Horset, ce n’était pas l’évêque ?

M.A : Ce n’était pas l’évêque, c’était l’abbé L’Horset. Mais vous savez, il en était sûr l’abbé L’Horset mais malgré tout, il voulait tout de même en être certain. Il était sûr que ce n’était pas diabolique mais enfin… Alors, donc, je n’ai pas vu Ses plaies ce jour-là, Il ne me les a pas montrées, j’ai seulement touché Ses mains, mais c’est aux Mystères que j’ai vu Ses plaies après.

J.S : Quand Il vous dit : « Touchez mes mains » vous n’avez pas senti les plaies dans ses mains ?

M.A : Ah, je ne les ai pas vues.

J.S : C’était seulement un témoignage physique, pour vous montrer qu’Il n’est pas un pur esprit ?

M.A : Voilà, comme Jésus est le seul Ressuscité, ça aurait été quelqu’un d’autre, je n’aurais pas pu Le toucher.

J.S : Il vous a donné plusieurs témoignages.

M.A : Plus qu’un témoignage.

J.S : Trois témoignages.

M.A : Alors, après j’ai vu Ses plaies dans les Mystères. Mais ce jour-là, Il ne me les a pas montrées.

J.S : « Si votre cœur est sec, il y aura peu d’eau et peu seront sauvés. »

M.A : Et puis,

« Malheur à l’humanité s’il n’y a pas d’eau dans les cinquante jours. »

Et il n’y en a pas eu dans les cinquante jours, il n’y en a eu qu’après, et c’était le 19 juillet qu’il y a eu de l’eau et c’était bien après les cinquante jours. Et j’avais fait un rêve qu’il y avait de l’eau dans le bassin. Je vous l’ai peut-être dit, ça, non ?

J.S : Non

M.A : Alors je vais voir Monsieur le Curé, le matin, les sœurs étaient là. J’ai dit,

« C’est drôle, j’ai fait un rêve cette nuit, qu’il y avait de l’eau dans le bassin. A moins que ce soit un songe, les rêves et les songes, ça fait deux. »

 Il m’a dit :

« C’est quand même bizarre, sœur Myriam a fait le même rêve que vous. »

La sœur, elle avait fait le même rêve que moi.

J.S : La sœur Myriam ?

M.A : Oui, sœur Myriam, le même rêve que moi. Alors, je dis, c’est quand même bizarre. Eh bien, je dis, écoutez, Je prends ma mobylette, puisque je n’avais que ça, je vais voir. Et en effet, il y avait de l’eau dans le bassin ; il y avait 30 centimètres d’eau, ça a été mesuré après, la hauteur, et c’était en plein été, donc ce n’était pas possible qu’il y ait de l’eau.

J.S : Dites-moi, au sujet du bassin, quelqu’un m’a dit : « Est-ce qu’ils l’ont bien construit à droite de la Croix ? » Parce qu’il faut regarder la Croix de face ou est-ce qu’il faut se mettre à la place de la Croix ? Est-ce que ce n’est pas de l’autre côté qu’il fallait le faire le bassin ?

M.A : C’est-à-dire que le bassin a dû être construit à l’endroit parce que c’était à tant de distance du bras, du bras droit.

J.S : Oui du bras droit, mais c’est du bras droit quand on regarde la Croix, quand on est face à la Croix ou, quand on est à la place de la Croix, c’est le bras droit ? Parce que voyez, selon la position qu’on a ?

M.A : Je crois que c’est à tant de mètres du bras droit. Ils ont dû le faire comme il faut, certainement. Etant donné qu’il n’y a pas eu d’eau au moment et qu’il y en a eu après.

J.S : Il est du bon côté ?

M.A : Oui, il est du bon côté. L’abbé L’Horset avait pris les mesures et tout. Il n’y a pas de doute qu’il est du bon côté.