26. 34ème apparition. | L’Avenir du Monde révélé à Madeleine Aumont par Jésus-Christ à Dozulé 🇨🇵

Témoignage de Madeleine sur les apparitions du Christ à Dozulé

J.S : Alors, là on arrive à la trente-quatrième apparition, c’est celle qui fait tiquer tous les gens qui défendent les prêtres. C’est la condamnation de l’Eglise ou tout du moins des prêtres qui ne veulent pas faire le message. Alors, là, c’est difficile à lire.

M.A : Alors vous voyez que ce jour-là, la mère supérieure et sœur Jeanne d’Arc étaient reçues par Monseigneur, à 16 heures.

J.S : Quand je dis aux gens que c’est sœur Jeanne d’Arc qui doit porter le message au pape !

M.A : Ils la connaissent ?

J.S : Non, mais enfin sœur Jeanne d’Arc, Jeanne d’Arc, c’est vraiment sa mission de sauver la France !

M.A : Exactement, et de sauver le monde, même ! Alors, je me suis rendue à la chapelle à 15 heures et puis je suis repartie, je suis revenue v, parce que c’est la sœur qui m’avait dit l’heure du rendez-vous. Alors, donc, en effet,

« Dites au prêtre, et aux religieuses et à deux personnes qui connaissent le Message de venir ici à 17h30. »

Mme Gilles et Mme Taclet sont venues, ce n’est pas moi qui les ai choisies, ce sont les sœurs qui les ont choisies, pour venir. Sœur Bruno m’avait dit :  

qui voulez-vous qui viennent ?

J’ai dit :

« ma sœur, qui vous voudrez. »

Alors ces deux personnes-là sont venues et pendant ce temps-là, elles étaient en conférence avec l’évêque, au sujet du message de Dozulé. Alors, voilà ce que le Seigneur dit :

« Que la Paix reste avec vous »

« Faites le signe de la Croix »

« Père, que Ta volonté se fasse sur cette terre. »

Son regard était triste.

« Dites ceci à haute voix. Vous, prêtres et religieuses chargés du Message, ne laissez pas l’humanité courir à sa perte. Je vous ai demandé de travailler pour faire élever la Croix Glorieuse. Ne voyez-vous pas que le moment est venu à cause des phénomènes qui s’ensuivent ? Car le temps s’écoule et mon Message reste dans l’ombre. S’il en est ainsi, le nombre des sauvés sera petit. Mais, vous qui n’exécutez pas la Parole de mon Père, votre châtiment sera grand. »

Vous pensez, c’est ça qui les gêne.

« Car c’est par le nombre des sauvés que vous serez jugés »

J.S : Vous vous rendez compte. Moi, quand je dis ça, on me regarde de travers. C’est pour ça que les sœurs ne sont pas contentes.

M.A : Eh bien voilà, c’est pour ça qu’ils ne voulaient pas que le message soit connu.

J.S : Alors, ça je ne le disais pas dans la cassette alors ça leur a paru très bien mais là, j’ai voulu le faire, c’est pour ça, qu’est-ce que vous voulez, puisque le Christ le dit. Parce que, moi, j’avais affaire aux gens qui étaient devant moi et qui voulaient absolument suivre l’évêque et le prêtre et qui ne voulaient pas dire la prière et faire connaître le message. C’est pour ça que j’ai voulu leur montrer qu’ils n’avaient pas tout à fait raison en écoutant uniquement le prêtre.

M.A : Mais alors, vous comprenez, moi qui étais très bien avec les religieuses et avec le prêtre, si ça avait été moi, vous pensez que j’aurais inventé quelque chose ? je n’aurais jamais dit ça parce que j’étais très bien avec eux. Au contraire ! Ça me gênait un peu quand même mais il fallait répéter ce que le Seigneur disait. 

« Car c’est par ce message qu’il plaît à Dieu de sauver le monde. Ne soyez pas comme les Juifs qui demandent des signes.  Mais par ce Message unique et définitif, que Dieu a révélé à sa servante »

Et j’en ai oublié, parce que ça a été dit avant :

« N’employez pas le moyen de la sagesse et de la réflexion »

Et figurez-vous qu’au moment où le Christ le disait dans la chapelle, l’évêque le disait aux sœurs, là-bas, qu’il fallait sagesse et réflexion. 

J.S : Et le Christ dit le contraire.

M.A : Exactement ! Il répondait à ce que l’évêque disait là-bas ! Aux deux sœurs qui étaient là-bas avec lui. Alors, la sœur a dit en arrivant :

« Ce n’est pas la peine de nous le dire, je suis sûre que l’évêque a dit ça et c’est exactement ça qu’il avait dit, qu’il fallait sagesse et réflexion. »

Et le Seigneur dit dans la chapelle au même moment :

« N’employez pas le moyen de la sagesse et de la réflexion mais écoutez la folie du Message. Car c’est par ce Message qu’il plaît à Dieu de sauver le monde. »

J.S : Mais alors, la mère supérieure et sœur Jeanne d’Arc, elles ont bien vu sur le procès-verbal, sur le texte du cahier, que …

M.A : Non seulement elles l’ont vu mais quand elles sont revenues là, les sœurs ont dit : voilà ce qui a été dit, et c’est exactement ce que l’évêque leur a dit, elles ont bien vu que c’était vrai.

J.S : Que c’était le contraire de ce que disait l’évêque !

M.A : Eh bien, c’était tout ce que l’évêque disait et tout le contraire a été répété à Dozulé.

J.S : Ça ne leur a pas donné envie de faire le contraire de ce que demandait l’évêque ?

M.A : Bien sûr que si, mais elles sont sous la coupe de l’évêque, il fallait qu’elles obéissent à l’évêque, de toute façon. Il demandait des signes aussi l’évêque et le Seigneur disait :

« Ne soyez pas comme les Juifs qui demandent des signes. »

Tout a été dit ici, de ce qui a été dit là-bas !  Tout le contraire ! Et les mêmes paroles ! Sagesse et réflexion.

J.S : Mais l’évêque, il a connu ce message ! Il croit que c’est de l’invention ?

M.A : Bien sûr que oui puisqu’il a même mes cahiers. Je crois qu’il est prudent, il attend.

J.S : Il attend, mais il n’est pas très prudent parce qu’il ne se rend pas compte, que, en attendant, quand Il dit : « Vous serez jugés au nombre de ceux que vous aurez sauvés. », il ferait bien de se demander s’il en sauve beaucoup !

M.A : Ah oui, sûrement.

« Les paroles qui sont sorties de sa bouche, ne sont pas d’humaines paroles – mais par ce que lui a enseigné l’Esprit. »

Tout ce qui a été dit là : sagesse et réflexion, d’ailleurs, c’est dit plus bas, c’est tout ce que l’évêque disait là-bas. Sagesse et réflexion, il leur dit et le Seigneur dit :

« N’employez pas le moyen de la sagesse et de la réflexion. »

Des signes, qu’il demandait,

« Ne soyez pas comme les Juifs qui demandent des signes. »

Tout a été répondu ici.  Voilà :

« Le moment est venu où Je dois verser dans les cœurs humains Ma miséricorde mais que ceux qui ont la charge du Message sachent bien que ce sont eux qui M’en empêchent puisqu’ils laissent le monde dans l’ignorance. Souvenez-vous, les jours seront abrégés à cause des élus, mais malheur à ceux qui n’exécutent pas la Parole de Dieu. »

J.S : Les jours de détresse vont être courts parce qu’il va falloir qu’il y ait des élus qui soient sauvés mais entre parenthèses, le Christ dit : « Malheur à ceux qui ne font pas leur travail. » Alors, Il a l’air de dire qu’ils ne verront pas les jours qui suivront la détresse, on a l’air de dire qu’ils vont mourir.

M.A : Bien sûr que oui.

« Ôtez vos chaussures puis sortez de la chapelle et allez jusqu’à ce que vos pieds posent sur la terre. »

Attendez, la chapelle était fermée à clé ! Je ne savais pas, moi, les sœurs l’avaient fermée à clé. Je ne sais pas comment je suis sortie !

J.S : Vous êtes passée où ?

M.A : Par la porte.

J.S : Elle s’est ouverte toute seule ?

M.A : Eh bien, j’ai dû donner un tour de clé, je n’en sais rien, je ne m’en rappelle pas du tout. Ils ont été étonnés, ils ont dit :

« Mais Mince ! Ils avaient fermé la porte à clé. »

Ils s’en rappelaient très bien. Et ils ont dit :

« Certainement vous avez dû donner un tour de clé. »

Je suis sortie, tout ce que je sais, puisque le Seigneur me l’avait dit. J’aime mieux vous dire – il paraît, parce que moi je ne les ai pas vues – Madame Gilles a dit après :

« Si vous aviez vu la tête des sœurs, quand vous êtes sortie de la chapelle quand ils avaient fermé la porte ! »

« Ôtez vos chaussures puis sortez de la chapelle et allez jusqu’à ce que vos pieds posent sur la terre. Ensuite, revenez ici. »

C’est donc ce que j’ai fait. Alors j’ai traversé la petite trappe, qui était là, devant la chapelle et j’ai été poser mes pieds sur la terre, pieds nus, je me suis déchaussée.

« Cette terre de Dozulé que mon Père a bénie et sacrée, nous ne sommes même pas dignes de poser les pieds dessus. »

Ensuite :

« Je suis le Dieu de bonté et d’amour. »

Il parlait avec douceur, le Christ, après ; avant, non.

« Ma Miséricorde est infinie. Si mes Paroles aujourd’hui sont cruelles, ce n’est pas pour vous condamner. Mais au contraire, Je veux sauver le monde par Mon Message. »

J.S : Là, c’était très doux et avant, ça ne l’était pas parce qu’Il donnait sa condamnation, avant. Il parlait d’une voix sévère ?

M.A : C’est-à-dire qu’Il parlait d’une voix sévère, je parlais comme Lui, avec fermeté. Et après, tout doucement, Il a dit ça. Il m’a souri après.

J.S : Il parlait avec une voix sévère, une voix menaçante ?

M.A : Oh non, pas du tout menaçante. Triste et plutôt avec conviction. Triste, pas menaçante du tout, triste et plus ferme. Et après Il a parlé tout doucement:

« Ma Miséricorde est infinie. »

Et voyez, « Puis Jésus disparaît. A l’heure où Madeleine écrit ceci. »

Je n’ai pas écrit ceci, moi, c’est : où j’ai dit ceci, elle s’est trompée, je n’ai jamais rien écrit.

Monseigneur demandait aux deux sœurs sagesse et réflexion. Et ensuite il disait : des signes. Formidable ! La réponse a été donnée là.

« Victoire, tu règneras,
Ô Croix Tu nous sauveras ! »

Vous la connaissez ?

J.S : Oui, je l’aime bien

M.A :
« Rayonne sur le monde
Qui cherche la vérité,
Ô Croix source féconde
D’amour et de liberté.
Victoire, tu règneras,
Ô Croix Tu nous sauveras ! »

Je la chante souvent toute seule.

 

J.S : Elle est merveilleuse. En plus, c’est la Croix Glorieuse !

 

M.A : Eh bien, voilà.

« Redonne la vaillance
Aux pauvres et aux malheureux
C’est Toi notre espérance
Qui nous mènera vers Dieu.

Victoire, tu règneras,
Ô Croix, Tu nous sauveras ! »

(Si on m’entend chanter, on va dire : eh bien, elle chante bien !)

« Rassemble tous nos frères
A l’ombre de tes grands bras
Par Toi, Dieu notre Père
Au Ciel nous accueillera.
Victoire, tu règneras,
Ô Croix Tu nous sauveras ! »

Oh non, je chante mal !

 

J.S : Si, c’est très bien. Merci beaucoup Madeleine.

M.A : Non, je chante juste mais je n’ai pas une belle voix ! Quand je chante plus fort, je crois que c’est mieux mais comme ça, ce n’est pas beau …

J.S : Après, vous me donniez une petite explication, sur la trente-quatrième, la fin. « Jésus reprend un visage rayonnant de bonté et de douceur, après avoir donné le plus sévère avertissement contre l’Eglise » parce que c’est la trente-quatrième apparition qui fait sauter en l’air les prêtres.

M.A : Ils étaient là pourtant. Et ils savent bien. C’est pour ça qu’ils ne veulent sûrement pas que le message soit connu et c’est pour ça qu’ils ne voulaient pas qu’il soit connu parce que peut-être qu’Ils auraient donné certains messages où on ne critique pas les prêtres. Je vous assure que j’étais très bien avec les prêtres et les sœurs, elles étaient très gentilles avec moi, je sais qu’elles y croyaient alors vous pensez bien que si c’était moi qui avais inventé quelque chose, je n’aurais pas critiqué les prêtres et les religieuses. 

J.S : De toute façon, vous êtes toujours très bien avec elles ?

M.A : Oh oui, je comprends que je suis toujours très bien avec elles, sûrement, et même l’abbé L’Horset m’écrit de temps en temps et de temps en temps, on se téléphone.

Alors :

« Que vos pieds posent sur la terre. Ensuite, revenez ici. »

Alors je vous ai expliqué que la porte était fermée à clé.

J.S : La porte de la chapelle était fermée à clé ?

M.A : Ah oui, elle était fermée à clé.

J.S : Et vous croyez que vous avez donné un tour de clé ?

M.A : Eh bien, il paraît, elles m’ont dit, que j’avais donné un tour de clé. Bien sûr, je ne savais même pas que la porte était fermée. Elles m’ont dit, il n’y a pas de doute :

« Vous avez donné un tour de clé parce que la porte était fermée »

mais je ne m’en suis même pas rendu compte.

J.S : Vous m’avez dit que les religieuses ont été ahuries de voir que vous passiez.

M.A : Un peu, je vous assure, elles ont été tellement étonnées de voir que je sortais – d’abord, elles se demandaient ce que j’allais faire –

J.S : Elles n’avaient pas entendu ?

M.A : Ah non, je n’ai pas dit tout haut :

« Ôtez vos chaussures »

alors elles étaient tellement étonnées de me voir sortir, qu’elles se demandaient où j’allais. Elles croyaient que j’allais le dire à tout le monde, que j’allais le crier à tout le monde. Mais ce n’est pas ça ; le Seigneur avait dit :

« Ôtez vos chaussures puis sortez de la chapelle et allez jusqu’à ce que vos pieds posent sur la terre. »

C’est ce que j’ai fait.

J.S : Vous vous êtes donc mis pieds nus ?

M.A : Oui, j’ai tiré mes chaussures dans la chapelle puis je suis sortie dehors mais la porte était fermée alors donc, soi-disant, j’ai dû donner un tour de clé.

J.S : Vous avez laissé vos chaussures dans la chapelle ?

M.A : Oui, je les ai laissées dans la chapelle.

J.S : Et alors, Il ne vous a pas dit de vous mettre à genoux dehors ou d’embrasser le sol ?

M.A : Oh non, pas du tout. Il a dit de mettre mes pieds sur la terre. Alors j’ai passé la petite trappe, qui est là, qui n’est pas goudronnée mais cailloutée puis j’ai été sur la terre plus loin et je suis revenue.

J.S : C’est pour montrer que cette terre était bénie et sacrée ?

M.A : C’est ça, nous ne sommes même pas dignes de poser le pied dessus. Et ensuite, le Seigneur avait un visage triste, au fond, quand Il a dit ça :

« Ne laissez pas l’humanité courir à sa perte. Je vous ai demandé de travailler pour faire élever la Croix Glorieuse. »

Son air était grave et triste mais pas menaçant du tout.

J.S : Pas menaçant ?

M.A : Ah non, Il n’a jamais été menaçant, le Seigneur. Jamais menaçant, toujours d’une grande bonté, d’une tristesse, très triste. J’avais la même voix que Lui, il paraît. Enfin, ils n’ont pas entendu Sa Voix mais je parlais fermement.

J.S : Vous changiez de voix.

M.A : Oui, je comprends ! Vous savez, je bafouille, je parle mal, alors que là, je changeais de voix, je n’avais pas du tout la même voix.

J.S : Et en plus, Il dit : « Cette terre de Dozulé », ce n’est pas uniquement la butte, donc.

M.A : Ah non, c’est tout Dozulé.

J.S : C’est l’endroit de la future Jérusalem.

M.A : Voilà, puisque c’est dit que Dozulé sera protégé de tout cataclysme. Souhaitons-le.

J.S : Ensuite Il dit : « Je suis le Dieu de Bonté et d’Amour »

M.A : Oui, Il reprend son visage rayonnant de Bonté en me regardant. Et Il m’a dit :

« Je suis le Dieu de Bonté et d’Amour. Ma Miséricorde est infinie. Si Mes Paroles aujourd’hui sont cruelles, ce n’est pas pour vous condamner. Mais au contraire, Je veux sauver le monde par mon Message. »

Ses Paroles, Il dit qu’elles étaient cruelles mais non, c’est pour sauver le monde.

J.S : Le clergé ne devrait pas se révolter contre Ses Paroles, il devrait se dépêcher.

M.A : Mais oui, il devrait se dépêcher parce que le Seigneur ne s’est jamais révolté. Il a parlé peut-être plus dur parce qu’Il voit qu’Il n’est pas écouté. C’est ça surtout.

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