24. 33ème apparition. | L’Avenir du Monde révélé à Madeleine Aumont par Jésus-Christ à Dozulé 🇨🇵

Témoignage de Madeleine sur les apparitions du Christ à Dozulé

J.S : Voilà maintenant l’apparition qui me plaît le plus de toutes, la trente-troisième, c’est la Lettre au Pape. C’est celle sur laquelle, pendant la conférence, je reste le plus longtemps. Et c’est celle qui impressionne le plus les gens, parce que là, après qu’Il a donné tout à l’Église par les prêtres, voyant qu’ils ne font rien, à ce moment-là, il s’adresse directement au Pape et Il fait un condensé de tout le message.

 

M.A : Un condensé de tout. Alors, attendez, la religieuse avait apporté un truc, elle voulait écrire en sténo, et ça a tellement été dit doucement, tout ça, qu’elle a eu le temps de l’écrire et rendez-vous compte Jean, est-ce que vous appreniez-vous bien à l’école, quand vous lisiez ?
 

J.S : A retenir ? oui, oui

 

M.A : Eh bien, moi non. J’avais beaucoup de mal à retenir. De toutes façons, quand on dit une prière trop doucement, on ne sait plus, je ne sais pas si vous êtes comme moi, eh bien là, je l’ai dit tout doucement, sans faire une seule faute, alors vous savez si le Christ ne me l’avait pas dit, il y a longtemps que j’aurais fait une erreur !

 

 « Dites ceci à haute voix ; voici ce que doit écrire la religieuse : cette lettre s’adresse au Chef de l’Eglise. C’est Jésus de Nazareth qui vous la dicte par la bouche de Sa servante. Il dit : »

 

Alors, elle a écrit tout ça, je l’ai dit tout doucement.

 

« Bienheureux les appelés de mon Père qui ont trouvé la Paix et la Joie sur cette terre de Dozulé, – je disais bien plus doucement que ça, puisqu’elle écrivait tout à mesure – mais combien le nombre sera grand quand le monde entier sera venu se repentir au pied de la Croix Glorieuse, que Je vous demande de faire élever. Car le temps n’est plus où Je ressuscitais les corps mais le moment est venu où Je dois ressusciter les esprits. Comprenez bien ceci : les jours qui précédèrent le Déluge – il paraît que je ne fourchais pas la langue, à ce moment-là – les gens ne se doutaient de rien, jusqu’à l’arrivée du déluge qui les emporta tous. »

 

On se moquait de lui aussi, de Noé ! On le prenait pour un fou !

 

J.S : Il y a une dame qui m’a dit hier, mais cette Croix Glorieuse, c’est l’arche de Noé !

 

M.A : Mais oui, c’est vrai au fond, c’est un petit peu vrai. Voyez :

« Les gens ne se doutaient de rien, jusqu’à l’arrivée du déluge qui les emporta tous.  Aujourd’hui, vous en êtes avertis. Vous vivez le temps où Je vous disais…»  – Voyez, Il disait ça, à ce moment-là – Il y aura sur cette terre des bouleversements de tous genres : l’iniquité qui est cause de famine et de misère, les nations seront dans l’angoisse… »

 

Vous savez, je disais beaucoup plus doucement que ça, puisqu’elle trouvait le moyen de l’écrire.

 

« Des phénomènes et des signes dans le ciel et sur la terre. Aussi, tenez-vous prêts, car la Grande Tribulation est proche, telle qu’il n’y en a pas eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à ce jour et qu’il n’y en aura jamais plus. Je vous le dis, cette jeune génération ne passera pas avant que cela n’arrive. Mais ne craignez rien, car voici que s’élève dans le ciel, le Signe du Fils de l’Homme que Madeleine a vu briller de l’Orient à l’Occident. Vous, Chef des Églises… »

 

J.S : Chef des Églises, au pluriel !

 

M.A : Oui et l’abbé L’Horset m’a dit :

« Vous êtes bien sûre qu’Il a dit des Églises ?

 

Ah oui, des Églises.

 

« En vérité, Je vous le dis, c’est par cette Croix dressée sur le monde, que les nations seront sauvées. »

 

J.S : Madeleine, je voudrais demander quelque chose. Il vous dit : « Vous, Chef des Eglises. » Il s’adresse au Pape. Alors pourquoi on a mis un « s » à Chefs ? Est-ce que ça ne doit pas être Chef au singulier ?

 

M.A : Ah oui, certainement. Il n’y a pas d’s à Chefs. Je ne crois pas.

 

J.S : Vous savez ce que je crois, moi, c’est qu’Il lui dit qu’il va être le Chef de toutes les Églises.

 

M.A : Exactement, Chef, il n’y a pas d’s.

 

J.S : Il n’y a pas d’s, c’est une erreur, ça.

 

M.A : Vous avez raison, c’est une erreur. C’est lui, qui est le chef, puisque c’est adressé à lui.

 

J.S : Autrement dit, c’est une prophétie qui lui dit qu’il va être Chef de toutes les autres Églises.

 

M.A :

« En vérité, Je vous le dis, c’est par cette Croix dressée sur le monde, que les nations seront sauvées… »

Et dire qu’elle n’est pas élevée cette Croix !

« Mon Père m’a envoyé pour sauver et le moment est venu où Je dois verser dans les cœurs humains, ma Miséricorde. Mon Message ne doit pas dormir à l’ombre d’un tiroir mais il doit être Vérité et Lumière pour le monde entier. Cette Croix Glorieuse doit être élevée pour la fin de la Sainte Année… »

 

A quel moment c’était, ça ?

 

J.S : En juillet 75.

 

M.A : Cette Sainte Année doit se prolonger jusqu’à l’élévation de la Croix Glorieuse. C’est quand même drôle, ça !

 

J.S : Oui, parce qu’en juillet 75, il n’y avait plus le temps de la faire.

 

M.A : Ah non !

 

« Ainsi se termine mon Message, Je vous ordonne de le remettre vous-même au Chef de l’Église, accompagnée d’un Supérieur. »

 

Voilà, ça a été écrit tout doucement. Et vous savez, les sœurs ne me reconnaissaient pas quand je parlais, quand je disais quelque chose, parce que vous voyez comment je parle, ça fourche beaucoup, et j’ai du mal, je bégaie un peu en plus ; ça a du mal à sortir mais là, jamais. Elles voyaient bien qu’il y avait quelqu’un qui m’aidait à parler, qui me dictait tout !

nos dernières vidéos