42ème apparition (31 décembre 1975) : Neuvaine – Jour 7 : « J’accorderai des grâces de tout ordre à ceux qui, connaissant Mon Message, persévéreront jusqu’à la fin ». | Apparitions de Jésus-Christ à Dozulé 🇨🇵

31.12.75, 17h15, le 7ème jour

Je vois la lumière. Puis Jésus se présente comme d’habitude, les mains tendues vers moi. Ensuite, il met sa main gauche sur son cœur, et des rayons rouges et blancs en sortent. Sa main droite est tendue vers l’assistance. Il me dit, et je répète :

« Le 7ème jour,

 

J’accorderai des grâces de tout ordre à ceux qui, connaissant Mon Message, persévéreront jusqu’à la fin.

Puis :

Notre Père

Et :

Je vous salue, Marie [3 fois]

Puis :

Par Ta douloureuse Passion, Seigneur, prends pitié de nous et du monde entier.

 

Gloire à Dieu au plus haut des Cieux

 

Paix et Joie sur la terre aux hommes qu’il aime.

À ce moment-là, les rayons disparaissent. Sa robe reprend sa place, et ses mains sont de nouveau tendues vers moi.

Jésus me dit, sans préciser de le dire tout haut :

Dans trois jours, allez dire au magistrat de cette ville que Jésus de Nazareth a triomphé de la mort, que Son Règne est éternel, et qu’il vient vaincre le monde et le temps.

 

S’il vous demande qui vous envoie, vous lui direz que c’est Jésus de Nazareth, le Fils de l’homme Ressuscité.

 

Portez-lui le Message, qu’il en prenne connaissance.

 

Dites-lui que Dieu le charge de rendre à l’Église la terre dont elle doit devenir la propriétaire.

J’ai dit à Jésus :

« Mais je serai peut-être mal reçue ».

Jésus m’a souri, puis m’a dit :

Son apparence sera rude, mais son cœur sera transformé, sa dignité ne le laissera pas apparaître.

J’ai répondu :

« Seigneur, je ferai votre volonté ».

Puis Jésus disparaît.

Monsieur le Curé était absent lors de cette apparition. Son retour, Sœur Bruno lui a transmis le message, qu’elle avait écrit en son absence.

J’avais bien l’intention d’aller trouver le Maire, comme Jésus me l’avait demandé. Mais Monsieur le Curé, de nouveau, m’interdisait d’y aller. Monseigneur était absent, et il ne fallait rien faire sans lui demander avis.

À qui obéir, au Christ ou à l’église ? C’était la 2ème fois que je désobéissais à Jésus.

Monsieur le Curé m’en empêche à chaque fois (mais je sais aussi que l’obéissance a sa valeur).

Je suis allée ce jour-là à la chapelle. Et je ne sais pourquoi, j’en suis ressortie toute calme ; je venais de trouver la paix ; et je pensais ne rien faire sans la permission de M. le Curé, de l’Église.

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