34ème apparition (19 septembre 1975) : Grave avertissement de Jésus-Christ aux prêtres et religieuses. | Apparitions de Jésus-Christ à Dozulé 🇨🇵

Vendredi 19 septembre

Ce jour-là, Mère Supérieure de Blon et Soeur Jeanne d’Arc doivent avoir une entrevue avec Monseigneur à 16 h.

15 h. Je me suis rendue à la chapelle comme chaque vendredi. Puis je vois Sœur Marguerite qui me dit : « Le rendez-vous avec Monseigneur est à 16 h. » Donc je suis repartie et revenue à 16 h, pour dire une dizaine de chapelet, pour l’entrevue.

16 h. Donc, après la dizaine de chapelet que Jésus m’a laissé finir, j’ai vu la lumière au tabernacle, sans que personne ne me soit apparu. J’ai entendu seulement une voix qui m’a dit :

« Dites au prêtre, aux religieuses et deux personnes qui connaissent le Message de venir ici à 17h30. »

Puis la lumière disparaît.

17h30. Donc je reviens à la chapelle à 17h30. Donc, sont présentes les trois Sœurs, M. le Curé et 2 personnes :

Mme Tacler, Mme Gilles. Ce sont les Sœurs qui ont choisi ces 2 personnes qui connaissent le message.

À l’heure indiquée, la lumière apparaît.

Puis Jésus se présente, les mains tendues vers moi. Puis il lève la main droite comme pour me bénir, l’index et le majeur plus élevés.

Il dit :

« Que la Paix reste avec vous. »

Toujours la main levée, il m’a dit :

« Faites le Signe de la Croix. »

Ce que je fais.

Ensuite, Jésus croise les mains à la hauteur de sa poitrine, puis il lève son regard grave et triste au ciel.

Il dit :

« Père, que Ta Volonté se fasse sur cette terre. »

Son regard était d’une grande tristesse. Il est resté ainsi un moment puis, ensuite, reprend sa position normale.

Il me dit :

« Dites ceci à haute voix :

(À ce moment-là, il regarde les gens qui sont dans la chapelle).

Je répète chaque phrase que Jésus me dicte. Il dit :

Vous, prêtres et religieuses chargés du Message, ne laissez pas l’humanité courir à sa perte.

 

Je vous ai demandé de travailler pour faire élever la Croix Glorieuse.

 

Ne voyez-vous pas que le moment est venu à cause des phénomènes qui s’ensuivent.

 

Car le temps s’écoule, et mon message reste dans l’ombre.

 

S’il en est ainsi, le nombre des sauvés sera petit.

 

Mais vous, qui n’exécutez pas la Parole de Mon Père, votre châtiment sera grand.

 

Car c’est par le nombre des sauvés que vous serez jugés.

 

N’employez pas le moyen de la sagesse et de la réflexion, mais écoutez la folie du Message.

 

Car c’est par ce Message qu’il plaît à Dieu de sauver le monde, (ne soyez pas comme les Juifs qui demandent des signes) mais par ce Message unique et définitif, que Dieu a révélé à Sa servante.

 

Les paroles qui sont sorties de sa bouche ne sont pas d’humaines paroles, mais par ce que lui a enseigné l’Esprit.

 

Le moment est venu où Je dois verser dans les cœurs humains Ma Miséricorde, mais que ceux qui ont la charge du Message sachent bien que c’est eux qui m’en empêchent puisqu’ils laissent le monde dans l’ignorance.

 

Souvenez-vous : les jours seront abrégés à cause des élus, mais malheur à ceux qui n’exécutent pas la Parole de Dieu. »

Ensuite, Jésus me dit :

« Ôtez-vos chaussures, puis sortez de la chapelle, et allez jusqu’à ce que vos pieds posent sur la terre. 

 

Ensuite revenez ici. »

Je fais ce que me demande Jésus.

Quand je me suis retrouvée à genoux devant Jésus, il m’a dit :

« Cette terre de Dozulé que Mon Père a bénie et sacrée, nous ne sommes même pas dignes de poser le pied dessus. »

Ensuite Jésus reprend son visage rayonnant de bonté et de douceur. Il me sourit et me dit (je le répète tout haut) :

« Je suis le Dieu de Bonté et d’Amour. Ma Miséricorde est infinie.

 

Si Mes Paroles aujourd’hui sont cruelles, ce n’est pas pour vous condamner.

 

Mais, au contraire, Je veux sauver le monde par Mon Message. »

Puis Jésus disparaît.

C’était sans doute la réponse de Monseigneur aux 2 Sœurs. Au même moment, à la même heure, il leur demandait des signes : Jésus répondait à Dozulé. Il leur demandait sagesse et réflexion ; Jésus le disait à Dozulé.

Tout ce que Monseigneur disait aux 2 Sœurs, on savait la réponse, car Jésus était triste et le disait à Dozulé.

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